
Un des plaisirs à redécouvrir : les séries finis. Contrairement à ce qui passe en ce moment, l’impression qui règne est qu’on ne peut développer indéfiniment et artificiellement les problématiques, que les personnages ont une certaine durée de vie ou ils finissent par ne plus paraître réalistes. C’est la cas pour cette série : 1 saison, 22 épisodes, pas un de plus, pas un de moins.
Studio 60 on The Sunset Strip est une émission de divertissement très populaire Outre-Atlantique qui décide de se renouveler, après un scandale on-line avec l’ancien présentateur, en recrutant Matt Albie (Matthew Perry) et Danny Tripp (Bradley Whitford), deux talentueux scénaristes qui devraient apporter une certaine fraîcheur au show. Pour les aider dans leur tache, et défendre une télévision de qualité, Jordan Mc Deere (Amanda Peet) est nommée directrice de la chaîne (NBS). L’histoire n’est pas magnifique mais on y croit. Les acteurs sont presque tous excellents et une ambiance qui pourrait vite devenir lassante permet de voir les coulisses du petit écran et, surtout, l’amour qu’ont les américains pour le spectacle. On n’est pas là dans le superflu et le divertissement mais dans l’image d’un pays qui se joue dans la qualité de ses programmes.
Rien n’est épargné : les ultra-catholiques, la téléréalité, la presse qui cherche à fouiner dans le passé des présentateurs…et tout cela avec des guest-stars de haut niveau (dont Sting chantant un très beau morceau au luth).
Le réalisateur, Aaron Sorkin, est le même qui a fait la très populaire A la maison Blanche et Perry se débarrasse enfin de son étiquette de ex-Friends et des navets qu’il a fait au cinéma. On aurait souhaité que ça dure un peu plus longtemps mais son charme est peut-être aussi celui du produit limité. Quelques séries devraient peut-être en faire de même.
Pour :
Studio 60 on The Sunset Strip est une émission de divertissement très populaire Outre-Atlantique qui décide de se renouveler, après un scandale on-line avec l’ancien présentateur, en recrutant Matt Albie (Matthew Perry) et Danny Tripp (Bradley Whitford), deux talentueux scénaristes qui devraient apporter une certaine fraîcheur au show. Pour les aider dans leur tache, et défendre une télévision de qualité, Jordan Mc Deere (Amanda Peet) est nommée directrice de la chaîne (NBS). L’histoire n’est pas magnifique mais on y croit. Les acteurs sont presque tous excellents et une ambiance qui pourrait vite devenir lassante permet de voir les coulisses du petit écran et, surtout, l’amour qu’ont les américains pour le spectacle. On n’est pas là dans le superflu et le divertissement mais dans l’image d’un pays qui se joue dans la qualité de ses programmes.
Rien n’est épargné : les ultra-catholiques, la téléréalité, la presse qui cherche à fouiner dans le passé des présentateurs…et tout cela avec des guest-stars de haut niveau (dont Sting chantant un très beau morceau au luth).
Le réalisateur, Aaron Sorkin, est le même qui a fait la très populaire A la maison Blanche et Perry se débarrasse enfin de son étiquette de ex-Friends et des navets qu’il a fait au cinéma. On aurait souhaité que ça dure un peu plus longtemps mais son charme est peut-être aussi celui du produit limité. Quelques séries devraient peut-être en faire de même.
Pour :
-Ceux qui aiment les belles histoires d’amour
-Ceux qui veulent connaître les illusions sur lesquelles vit l’Amérique
-Ceux qui aimaient Matthew Perry (même ceux qui l’aimaient pas)
Contre :
-Ceux qui veulent connaître les illusions sur lesquelles vit l’Amérique
-Ceux qui aimaient Matthew Perry (même ceux qui l’aimaient pas)
Contre :
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